le jardin de Marmottine

Il était arrivé une misère à Marmottine, sur son pull adoré vieillissant une magnifique tâche à la fin d'un repas, trop joyeux sans doute.....je lui avais dit, ne t'inquiétes pas une solution viendra.....hé hé....des fleurs poussent en sortant des poches....elle est aux anges et surveillera son pull à l'école, pour bien sûr qu'il ne trouve pas d'autres propriétaires...mais, non, je n'ai pas les chevilles qui gonflent....j'ai toute une liste de mensurations de mains, toutes fraîches voulant des mitaines......!!!! et mes fleurs viennent de mes pelotes préférées...je les laisse se dérouler tout doucettement....!

depuis, que je me promène sur la toile, je m'extasie tant sur les créations de chacune...j'ai le sentiment de ne pas faire grand chose....2012 est mon année...hé hé....euh, sauf si je passe mon temps à remettre en pelote mes 344 mailles de pur bonheur...mais, la laine choisie ne mettait pas en valeur le délicieux modèle tant zieuté...alors dans mon stock perso, il sait bien m'attendre, j'ai pris une valeur sûre....

dicton du jour....au bout de trois photos floues...plus de photo du tout.......!

belle journée......

Comments

[Chachou]

C'est ravissant!

[clairesoleil]

j'aime que les pulls vivent autrement, transformés, embellis..

[clothogancho]

je crois Sylvie a dit l'essentiel : je suis aussi une inconditionnelle du sauvetage, ravaudage, transformation, bref, de tout ce qui fait revivre et tient à distance la conso qui nous étouffe et nous éloigne de l'essentiel, quand elle ne pourrit pas le monde. Comme beaucoup, j'aime les belles matières et les belles couleurs et j'en voudrais des tonnes pour me rouler dedans les admirer, comme des trésors inutiles, mais finalement pourquoi faire ? Il est très beau ton champ de fleurs.

[sylvie t]

Superbe ! Laisse gonfler tes chevilles de temps en temps, surtout si tu es allongée, ça ne fera pas grand mal ...

Chaque fois que je trouve une idée de broderie ou de crochet pour cacher une tache ou un trou, je suis très fière de moi .... moi aussi, peut-être plus que lorsque je réalise un ouvrage tout entier. Je ne sais pas pourquoi. Est-ce d'avoir sauvé un vêtement qui était devenu irremplaçable ? Est-ce d'y avoir apporté cette note personnelle unique ? Sont-ce les deux ? Et à chaque fois, je pense à ces femmes qui ont déployé des trésors d'invention, d'adresse et de débrouillardise pour compenser le manque d'argent et donner à leur famille le plus de confort et de bien être qu'elles pouvaient leur offrir.